Titre : | Parité statutaire et disparité subjective (2020) |
contenu dans : | |
Auteurs : | LECARPENTIER MICHEL |
Type de document : | Article |
Dans : | PRATIQUES EN SANTE MENTALE (3 vol 66, 2020) |
Article en page(s) : | 73-81 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CLUB THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] PAIR AIDANT [SANTEPSY] PANDEMIE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE INSTITUTIONNELLE [SANTEPSY] STATUT DU PERSONNEL |
Mots-clés libres: | LA BORDE |
Résumé : | Comment la clinique de la Borde a-t-elle su faire face à l'épidémie de la Covid-19 et de l'aliénation sociale en résultant ? ' Faute de se serrer les mains, se serrer les coudes ', écrit Michel Lecarpentier, psychiatre de longue date dans cette clinique psychiatrique exemplaire. Dans son témoignage, daté du 30 mai 2020, peu de temps après la levée du ' confinement ', la longue histoire de la Borde, par-delà les cloisonnements statutaires, a permis de sauvegarder l'essentiel : le sens de l'existence. Grâce à une club thérapeutique fondé en 1953 et une association Croix-Marine dès 1965, les activités relationnelles, le collectif a pu maintenir les activités tant à l'intérieur de la clinique que dans les maisons associatives dans la cité. Avec toute une histoire de ' connivence ', chère à Jean Oury, la reconnaissance de chacun a permis que la pair-aidance y prenne la figure de la ' disparité subjective '. [Résumé d'éditeur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PSM_203_0072 |