| Titre : | La psychanalyse, c’est la mise en cause du psychanalyste |
| Auteurs : | GUYOMARD PATRICK, Aut. ; DISSEZ NICOLAS, Aut. |
| Type de document : | Article |
| Dans : | CARNET PSY (N°271, Juin 2024) |
| Article en page(s) : | 5-10 |
| Note générale : | 4 réf. bibliogr./ascodo303 |
| Descripteurs |
[LISTES] LACAN Jacques [SANTEPSY] EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE [SANTEPSY] IDENTITE PROFESSIONNELLE [SANTEPSY] PRATIQUE PROFESSIONNELLE [SANTEPSY] PSYCHANALYSE [SANTEPSY] PSYCHANALYSTE [SANTEPSY] ROLE |
| Résumé : | Entretien avec Patrick Guyomard sur sa pratique de psychanalyste. 'C’est-à-dire que l’analyse, au fond, reposerait sur une espèce de mythe selon lequel l’analyste peut tout encaisser dans toute la pluralité des transferts. Il peut à la fois être le bon objet, le mauvais objet, l’objet neutre, etc. Et tout peut venir à n’importe quel moment de la vie psychique dans un seul transfert. Je dis que c’est idéaliste parce que je trouve que ça ne marche pas comme ça. La vie psychique ne marche pas comme ça. Par conséquent, c’est une erreur de prolonger indéfiniment des cures en espérant que tout va venir quand ce n’est pas vrai. La vie psychique a besoin de se séparer en éjectant, et quelques fois il faut rompre, terminer une analyse, c’est-à-dire boucler un transfert pour pouvoir en commencer un autre.' [extrait de l'article] |
| En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2024-6-page-5.htm |
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