Titre : | Qu'adviendra-t-il de moi quand ce sera la fin ? (2020) |
contenu dans : | |
Auteurs : | BRAUN GUEDEL BÉATRICE |
Type de document : | Article |
Dans : | REVUE FRANCAISE DE PSYCHANALYSE (3 vol 84, 2020) |
Article en page(s) : | 631-640 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ABANDON DU TRAITEMENT [SANTEPSY] CONTRE TRANSFERT [SANTEPSY] HAINE [SANTEPSY] HALLUCINATION NEGATIVE [SANTEPSY] PROCESSUS ANALYTIQUE [SANTEPSY] TRANSFERT NEGATIF |
Mots-clés libres: | FIN D ANALYSE |
Résumé : | Que restera-t-il après l'analyse du travail effectué ensemble durant de longues années ? Si la fin exige des renoncements, tant du côté de l'analysant que de l'analyste, elle est aussi pourvoyeuse de compensations narcissiques dans la réalité, reflet de déplacements possibles chez les deux partenaires de la cure. Toutefois la question de la haine et du transfert négatif sera abordée au travers de l'acting de fin de cure de Julie, et une hypothèse sera soulevée, faisant suite au travail d'André Green sur la constitution de la figure encadrante de la mère : ne faut-il pas, parfois, que l'analyste ne soit plus là pour que se constitue ou se renforce une matrice encadrante, quand le sujet n'a pas pu ou n'a pu que trop partiellement avoir accès à l'hallucination négative de l'objet maternel, traduction de ratés du refoulement primaire ? Les difficultés contre-transférentielles, et la nécessité de leur analyse minutieuse dans ces occurrences, plus encore que dans d'autres, seront évoquées. [Résumé d'éditeur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2020-3-page-631.htm?contenu=article |