Titre : | Sur un aspect de la théorie de Wilfred R. Bion (2018) |
contenu dans : | |
Auteurs : | LEVY FRANÇOIS |
Type de document : | Article |
Dans : | JOURNAL DE LA PSYCHANALYSE DE L'ENFANT (NOUVELLE SERIE) (2, 2018) |
Article en page(s) : | 199-123 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] IDENTIFICATION PROJECTIVE [SANTEPSY] INTERACTION PRECOCE [SANTEPSY] NOURRISSON [SANTEPSY] PSYCHANALYSE [SANTEPSY] PSYCHANALYSTE [SANTEPSY] SOUFFRANCE PSYCHIQUE [SANTEPSY] THEORIE |
Mots-clés libres: | BION WILFRED RUPRECHT |
Résumé : | Le lien, la souffrance et la pensée sont les trois piliers sur lesquels repose l'acte thérapeutique que Freud a baptisé du nom de psychanalyse. Mais la discipline qui en est issue a délaissé l'enfant souffrant alors entraperçu. Les analystes eux-mêmes ont perdu en eux l'enfant cherchant à se faire comprendre. Sigmund Freud, Sandor Ferenczi, Melanie Klein, puis le courant anglo-saxon ont pourtant eu à l'esprit que c'est l'activité de liaison qui permet au nourrisson d'évacuer dans la mère les peurs, les vécus de souffrance et autres terreurs qui empoisonnent son développement. Parmi ces analystes, Wilfred R. Bion est celui qui a le plus insisté sur les effets toxiques de l'ignorance, par l'analyste, de cette dynamique. [Résumé d'éditeur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-journal-de-la-psychanalyse-de-l-enfant-2018-2-page-199.htm?contenu=article |