Titre : | Une rencontre interdite avec la violence (2020) |
contenu dans : | |
Auteurs : | RAVIT MAGALI |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (235, 2020) |
Article en page(s) : | 22-27 |
Note générale : | 9 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] CONTRE TRANSFERT [SANTEPSY] INFANTICIDE [SANTEPSY] INTERDIT [SANTEPSY] MERE MORTE [SANTEPSY] RELATION MERE FILLE [SANTEPSY] VIOLENCE |
Résumé : | Journée scientifique organisée par le Dr Catherine Chabert et la revue Carnet Psy en partenariat avec le Laboratoire 'Psychologie clinique, Psychopathologie, Psychanalyse' (PCPP) de l'Université Paris-Descartes Sorbonne Paris Cité. Amélie est une jeune femme d'une trentaine d'années qui a tué sa fille (et unique enfant) âgée de quatre ans en l'égorgeant après lui avoir fait ingérer des somnifères pour l'endormir. (?) A. Green indique que l'une des facettes du désinvestissement maternel est l'identification sur un mode primaire à l'objet : l'identification inconsciente à la ?mère morte' permet en même temps de renoncer à l'objet et de le posséder, d'où son caractère aliénant. Dans les relations ultérieures avec l'enfant, il y aurait là une ?réticence' à aimer l'objet, à l'investir, puisque celui-ci mettra en oeuvre le réinvestissement de traces du trauma dans la construction de l'unité duelle. [extrait de l'article] |