Titre : | Mara, la mère que j'ai gravée dans ma chair et nourrie de mon sang (2017) |
contenu dans : | |
Auteurs : | MOURANI MARIA |
Type de document : | Article |
Dans : | CORPS & PSYCHISME : RECHERCHES EN PSYCHANALYSE ET SCIENCES HUMAINES (71, 2017) |
Article en page(s) : | 167-178 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ADOLESCENT [SANTEPSY] ANTHROPOLOGIE [SANTEPSY] CORPS [SANTEPSY] DELINQUANCE JUVENILE [SANTEPSY] LIEN SOCIAL [SANTEPSY] MORT [SANTEPSY] PRISON [SANTEPSY] TATOUAGE [SANTEPSY] VIOLENCE |
Mots-clés libres: | AMERIQUE CENTRALE ; SALVADOR |
Résumé : | La Mara Salvatrucha (MS13) et la Dieciocho (18) sont, de loin, les bandes de jeunes les plus violentes et les plus inquiétantes, mais aussi les plus fascinantes. La Mara, c'est la famille, la mère de tous ces enfants du Salvador, du Guatemala, du Honduras, du Nicaragua, du Mexique, dont on n'entend même plus les cris. Au travers d'entretiens de recherche menés en 2008 dans une perspective anthropologique, nous avons pu apprécier comment le lien social qui unit les membres de la Mara Salvatrucha se fonde sur la violence, sur différentes déclinaisons de l'atteinte du corps de soi et celui de l'autre. [Résumé d'éditeur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-corps-et-psychisme-2017-1-page-167.htm |