Titre : | Addiction médicamenteuse et bisexualité face à l'angoisse de castration (2019) |
contenu dans : | |
Auteurs : | SQUIRES CLAIRE |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (230, 2019) |
Article en page(s) : | 40-43 |
Note générale : | 10 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ADDICTION [SANTEPSY] AGRESSION SEXUELLE [SANTEPSY] ANGOISSE DE CASTRATION [SANTEPSY] BISEXUALITE [SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] PHARMACODEPENDANCE [SANTEPSY] SEXUALITE INFANTILE |
Résumé : | 'Actes du colloque organisé par l'UTRPP Université Paris 13 en collaboration avec le CRPMS Université Paris Diderot le 31 janvier 2019. Le traumatique sexuel laisse des traces d'identifications à l'agresseur, d'indistinction du sujet de l'objet. La construction de la sexualité infantile privilégierait la perception plutôt que l'hallucinatoire, c'est-à-dire que l'enfant ne peut réinvestir l'image mnésique de l'objet satisfaisant, ce qui favoriserait la décharge pulsionnelle plutôt que le refoulement, court-circuitant les affects négatifs. A l'âge adulte, après une vie rangée de père de famille, Charles s'était lancé dans des relations variées et passagères homosexuelles remplaçant son ancienne addiction médicamenteuse ; c'est en tout cas ce qu'il était brièvement venu raconter, quelques années après avoir interrompu son analyse pour s'occuper de sa femme malade et l'accompagner dans les soins palliatifs. Comme si le but était de réparer l'image de soi endommagée et de maintenir l'illusion d'un contrôle omnipotent grâce à cet objet ou au comportement addictif. [extrait de l'article]' |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2019-9-page-40.htm |