Titre : | Les théories internes du psychanalyste : entrave ou facilitation du processus ? (2018) |
contenu dans : | |
Auteurs : | ROGUET JEAN-PHILIPPE |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (219, 2018) |
Article en page(s) : | 38-41 |
Note générale : | 22 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ATTITUDE DU PROFESSIONNEL [SANTEPSY] CONSULTATION [SANTEPSY] PRATIQUE PROFESSIONNELLE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE PSYCHANALYTIQUE [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] THEORIE [SANTEPSY] TRANSFERT |
Résumé : | Actes du colloque organisé par l'UTRPP-EA 4403 (Université de Paris 13 - SPC). Partie 3. En pratique, l'analysant doit pouvoir être écouté sans savoir préalable, sans a priori théorique, sinon '? l'analyste n'est plus en mesure d'être dans l'état de 'théorisation flottante' qui accompagne la suspension de la théorie' (Roussillon, 2007, p7). Cette formulation pourrait se rapprocher de ce que proposait Bion d'une écoute sans mémoire ni désir. En somme, il semble souhaitable de ne pas nous laisser trop éblouir par nos théories officielles ou privées. Ce faisant, nous restons alors plus disponibles pour l'accueil de l'inattendu, de l'inconnu, au sein du processus psychanalytique. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2018-7-page-38.htm |