Titre : | Le don comme prix de la gratuité (2018) |
contenu dans : | |
Auteurs : | COLIN BERTRAND |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (219, 2018) |
Article en page(s) : | 31-34 |
Note générale : | 1 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
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Résumé : | Actes du colloque organisé par l'UTRPP-EA 4403 (Université de Paris 13 - SPC). Partie 3. Il y a dans la pratique de la psychanalyse une règle voulant que toute séance manquée soit due. Elle s'explicite le plus souvent sous une forme contractuelle : la permanence du cadre qui oblige chacune des parties, quoique différemment, a un prix. Ce prix est convenu. L'analyste est garant du cadre ; sa présence assure cette garantie. Le patient en est le bénéficiaire ; son paiement l'atteste. En même temps qu'une réciprocité, une asymétrie apparaît entre ces deux obligations. L'absence de l'analyste supprime la garantie assurée ; non pas l'absence du patient. Une asymétrie, soit une 'injustice' dans la règle, est nécessaire à l'établissement du contrat. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2018-7-page-31.htm |