Titre : | Le temps de la régression : la régression est affaire de temps, mais elle l'ignore (2018) |
contenu dans : | |
Auteurs : | ANDRE JACQUES |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (215, 2018) |
Article en page(s) : | 33-36 |
Note générale : | 7 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE [SANTEPSY] REGRESSION [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] TEMPORALITE PSYCHIQUE [SANTEPSY] TRANSFERT |
Résumé : | Journée scientifique organisée par le Pr Catherine Chabert et la revue Le Carnet Psy en partenariat avec le Laboratoire 'Psychologie clinique, Psychopathologie, Psychanalyse' (PCPP) de l'Université Paris-Descartes Sorbonne Paris Cité. (...) Quel que soit le degré de régression atteint par le patient adulte sur le divan, ce n'est jamais un nouveau-né qui s'allonge. Les années qui le séparent de la première enfance ont vu se constituer entraves, barrières et autres enclos derrière lesquels les sources de l'angoisse et de la détresse sont plus ou moins à l'abri. Le travail de l'analyste-sourcier demande patience et longueur de temps. Véritable défi à la face du monde contemporain. Non seulement celui-ci n'a pas le temps, hors celui d'un présent continué, mais l'évolution des moeurs et des techniques valorise l'instant. À l'heure du 'clic' la psychanalyse est plus que jamais intempestive, notre romantisme y trouve son compte mais il est bien le seul. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2018-3-page-33.htm |