Titre : | 'On n'a rien d'autre à faire qu'à lui laisser le temps' (2018) |
contenu dans : | |
Auteurs : | KAHN LAURENCE |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (215, 2018) |
Article en page(s) : | 27-32 |
Note générale : | 19 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] ENFANT MALTRAITE [SANTEPSY] PRINCIPE DE PLAISIR [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE [SANTEPSY] PULSION [SANTEPSY] REGRESSION [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] TEMPORALITE PSYCHIQUE [SANTEPSY] TRANSFERT |
Résumé : | Journée scientifique organisée par le Pr Catherine Chabert et la revue Le Carnet Psy en partenariat avec le Laboratoire 'Psychologie clinique, Psychopathologie, Psychanalyse' (PCPP) de l'Université Paris-Descartes Sorbonne Paris Cité. (...) Il n'y a au fond qu'un pas entre la régression narcissique de l'objet au Moi et le dispositif proprement mélancolique où l'objet perdu prend toute la place du moi. Mais le pas est d'importance. Car tant que le fantasme de 'Un enfant est battu' reste actif, certes la culpabilité transforme le sadisme en masochisme ; mais la punition reste, en sous-main, le substitut régressif de la relation objectale prohibée. L'objet demeure, pôle clandestin de l'adresse transférentielle, même si le retournement du sadisme contre la personne propre correspond à une régression défensive de l'objet au moi. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2018-3-page-27.htm |