Titre : | Qu'apporte une analyse de la pratique après la mort des gens de la rue ? (2017) |
contenu dans : | |
Auteurs : | FURTOS JEAN |
Type de document : | Article |
Dans : | RHIZOME (64, 2017) |
Article en page(s) : | 12 |
Note générale : | 2 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ACCOMPAGNEMENT THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] ANALYSE DE LA PRATIQUE [SANTEPSY] DECES [SANTEPSY] MORT [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] SANS DOMICILE FIXE |
Résumé : | Il ne va pas de soi de penser la mort d'une personne que l'on a connue et suivie en soins, ou en accompagnement social, comme étant un élément de vie qui nécessite une pensée clinique de type analyse de la pratique. Et pourtant, il en est ainsi dans certaines situations. On sait, même si cela est loin malheureusement d'être la règle, qu'il est important de parler en équipe après le décès d'un patient traité depuis longtemps, par exemple, après un suicide, une mort violente ou inattendue. Cela enrichit la clinique après coup et peut authentifier des manières de faire ou de ne pas faire qui aideront les prises en charge ultérieures. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-rhizome-2017-2-page-12.htm |