Titre : | Remédiation cognitive et rétablissement dans les troubles psychiques sévères (2017) |
contenu dans : | |
Auteurs : | FRANCK NICOLAS |
Type de document : | Article |
Dans : | RHIZOME (65-66, 2017) |
Article en page(s) : | 10-11 |
Note générale : | 14 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE [SANTEPSY] REHABILITATION PSYCHOSOCIALE [SANTEPSY] REMEDIATION COGNITIVE [SANTEPSY] RETABLISSEMENT [SANTEPSY] SCHIZOPHRENIE [SANTEPSY] SOIN PSYCHIATRIQUE |
Résumé : | Le pronostic fonctionnel des troubles psychiques sévères, dont la schizophrénie au premier chef, reste péjoratif. En effet, une méta-analyse a mis en évidence que seul un patient ayant une schizophrénie sur sept répondait aux critères médicaux et sociaux de rétablissement. Ce faible taux de rétablissement est la conséquence de certains symptômes difficiles à traiter (en particulier les symptômes négatifs et la désorganisation), de la iatrogénie (traitements antipsychotiques utilisés à une posologie supérieure à la dose minimale efficace), mais aussi de troubles associés touchant l'insight et la cognition. De fait, réduire les conséquences des troubles cognitifs augmente la capacité des sujets à décider, facteur de rétablissement. [résumé de l'éditeur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-rhizome-2017-3-page-10.htm |