Titre : | Imprécis de psychanalyse : transfert (2018) |
contenu dans : | |
Auteurs : | SMITH DI BIASIO ANNE-MARIE ; CORCOS MAURICE ; LIBERMAN ARIEL |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (213, 2018) |
Article en page(s) : | 20-21 |
Note générale : | 11 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] AMOUR [SANTEPSY] CONTRE TRANSFERT [SANTEPSY] CURE PSYCHANALYTIQUE [SANTEPSY] PSYCHANALYSTE [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] TRANSFERT |
Résumé : | Le transfert est désir et fantasme, et comme l'amour ou l'inspiration, il se pose là où il peut et là où ça lui est nécessaire, plus qu'il ne choisit ou élit le lieu de son alunissage. Le thérapeute est investi comme un personnage (avant que comme une personne) et non comme une fonction (complexe quant au médecin). Aussi, le médecin suffisamment bienveillant devrait-il investir le personnage et la personne qu'est son patient - un semblable autre-dissemblable, plutôt que le 'malade mental' qui se présente à lui. (...) Enfin le cadre de la cure offre via le transfert une occasion unique à l'analysant de se révéler à lui-même. L'analyste-miroir qui sait (selon le fantasme dont il témoigne) la fragilité de son patient, n'abuse pas de cet extravagant pouvoir. C'est cette bienveillance qui est le moteur essentiel de la cure. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2018-1-page-20.htm |