Titre : | Emprise du père et déni du féminin : quand le travail du féminin féconde la rêverie du groupe (2017) |
contenu dans : | |
Auteurs : | BECAR FLORENCE |
Type de document : | Article |
Dans : | DIALOGUE (216, 2017) |
Article en page(s) : | 93-104 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] EMPRISE [SANTEPSY] FAMILLE [SANTEPSY] FEMINITE [SANTEPSY] PERE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE CONJUGALE [SANTEPSY] REVE EVEILLE DIRIGE [SANTEPSY] SECRET DE FAMILLE |
Résumé : | Dans ce récit d'une thérapie en couple, l'auteur alterne récits cliniques et analyses théoriques élaborées dans l'après-coup. Les questions ayant servi d'étayage à sa rêverie ont permis la métabolisation du matériel psychique apporté et favorisé la recherche d'une voie de dégagement par le couple enfermé dans un fonctionnement mortifère. Cette voie fut rendue possible par la rêverie du groupe patients/thérapeute ayant engendré sa mise au travail, sa fécondité, sa créativité. L'auteur formule l'hypothèse que la demande initiale présentée comme relevant d'un 'problème de communication' serait le précipité d'une soumission à l'emprise paternelle et à son refus du féminin verrouillant la circulation de la parole. L'étayage du groupe constitué par le couple et la clinicienne, leur rêverie féconde et leur mise au travail les ont conduits à élaborer la structuration de l'origine et le défaut de son organisation lié au secret. [Résumé d'éditeur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-dialogue-2017-2-p-93.htm |