Titre : | La destructivité à l'oeuvre dans la psychose (2017) |
contenu dans : | |
Auteurs : | BRUN ANNE |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (207, 2017) |
Article en page(s) : | 49-53 |
Note générale : | 6 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] CREATIVITE [SANTEPSY] MEDIATION THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] MEDIUM MALLEABLE [SANTEPSY] PSYCHOSE [SANTEPSY] PSYCHOSE INFANTILE [SANTEPSY] REPRESENTATION [SANTEPSY] SENSORIMOTRICITE [SANTEPSY] TRANSFERT [SANTEPSY] VIOLENCE |
Résumé : | Actes du colloque BB-Ados 2016 (2ème partie). Mon hypothèse sera que le passage de la destructivité à l'exaltation, au sens ici de l'exaltation créatrice, passe par le transfert de la sensori-motricité de l'enfant sur le medium malléable : mais comment peut-on parler de transfert de la sensori-motricité sur le medium malléable ? Ce transfert de la sensori-motricité n'implique pas seulement un medium malléable au sens de matière mais aussi les cliniciens comme medium malléable - ce medium malléable est toujours, comme l'a conceptualisé Marion Milner (1965), à la fois l'objet médiateur, la matière, à la fois le thérapeute présentant le medium dans sa matérialité -. (...) Donc ce transfert de la sensorialité sur le medium met en jeu à la fois une intersubjectivité et une intersensorialité. Les thérapeutes jouent un rôle essentiel à la fois en accusant réception de la destructivité, à la fois en tentant de la transformer en proposant différentes formes de jeu, en restaurant les jeux qui n'ont pas pu se jouer dans la prime enfance (R. Roussillon, 2008). [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2017-4-page-49.htm |