Titre : | Discussion (2017) |
contenu dans : | |
Auteurs : | ROJAS URREGO ALEJANDRO |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (207, 2017) |
Article en page(s) : | 42-45 |
Note générale : | 25 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CADRE THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] CREATIVITE [SANTEPSY] OBJET [SANTEPSY] VIOLENCE |
Mots-clés libres: | ROUSSILLON RENE ; WINNICOTT DONALD WOODS ; ROUSSILLON RENÉ |
Résumé : | Actes du colloque BB-Ados 2016 (2ème partie). Discussion d'Alejandro Rojas-Urrego sur l'article 'La destructivité et la déception narcissique' de René Roussillon. Je pense que nous avons été tous très intéressés et interpellés par la réflexion que tu viens de nous exposer sur les différents tableaux cliniques qui résultent en quelque sorte de la réponse donnée par l'objet à la destructivité du sujet. La question centrale devient alors de savoir si l'objet survit ou non à une telle destructivité. Tu donnes, en effet, une place centrale à la notion de Winnicott de 'survivance de l'objet', notion qui s'avère désormais indispensable pour maintenir 'une position authentiquement psychanalytique face à la destructivité' et que tu développes d'une manière importante. Dans la lecture que tu fais de cet apport essentiel de Winnicott 'l'écart entre la destructivité (?) et la destruction (?) dépend (en quelque sorte) de la 'réponse' proposée par l'environnement, en particulier l'environnement précoce, aux élans pulsionnels du sujet.' [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2017-4-page-42.htm |