Titre : | Perspectives for public policies in mental health. Sick or well ? a citizen first : The (Ex-)User-Survivor Voice in Democracy (2016) |
contenu dans : | |
Auteurs : | MORALES CANO GUADALUPE ; WOOLEY STÉPHANIE |
Type de document : | Article |
Dans : | INFORMATION PSYCHIATRIQUE (9 vol 92, 2016) |
Article en page(s) : | 723-730 |
Note générale : | Bibliogr./Article en anglais |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CITOYENNETE [SANTEPSY] DROIT DU PATIENT [SANTEPSY] HUMANISATION DES SOINS [SANTEPSY] POLITIQUE DE SANTE [SANTEPSY] PSYCHIATRIE [SANTEPSY] PSYCHIATRIE SOCIALE [SANTEPSY] SANTE MENTALE [SANTEPSY] USAGER |
Mots-clés libres: | ALTERNATIVE A L HOSPITALISATION ; DROIT DE L HOMME |
Résumé : | Le Réseau européen des (ex-)usagers et survivants de la psychiatrie (ENUSP), fondé en 1990, est la seule fédération européenne indépendante oeuvrant dans notre domaine en Europe et auto-administrée uniquement par des personnes ayant eu une expérience en psychiatrie. Nous offrons à nos membres les moyens d'une représentation démocratique directe et une voix pour promouvoir, défendre et protéger nos droits et nos intérêts. L'ENUSP est partie prenante en Europe auprès de l'ONU, de l'OMS, du Parlement européen et de la Commission européenne, ainsi que d'autres ONG de santé mentale ou représentant les personnes handicapées et ce, malgré nos ressources financières limitées. Notre contribution à cette réflexion à propos de comment les politiques publiques peuvent être conçues, améliorées et mises en oeuvre est fondée sur une approche tout au long de la vie afin de recommander des politiques pertinentes et appropriées aux différents stades de la vie. L'ENUSP préconise une approche basée sur les droits humains, l'inclusion sociale et le bien-être intégrant toutes les parties prenantes et notamment ceux qui sont impactés par ces politiques qui doivent être impliquées de manière significative et effective à toutes les étapes plutôt que l'approche descendante et biomédicale si souvent utilisée par les Etats ' du berceau jusqu'à la tombe '. Des ressources plus importantes doivent être allouées à des services de prévention et de soutien de qualité, non-stigmatisants, facilement accessibles et personnalisés, ainsi que pour assurer l'implication nécessaire des (ex-)usagers et survivants et nos associations représentatives. L'ENUSP estime que cela représente l'occasion de développer des projets et des activités menés par les usagers où les objectifs de notre réseau correspondent aux recommandations du Comité de l'ONU de la CDPH, à la politique de l'UE et de l'OMS afin d'atteindre un consensus sur la politique publique en matière de santé mentale. [Résumé d'éditeur] |
En ligne : | http://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2016-9-page-723.htm |