Titre : | D'une violence paradoxale (2016) |
contenu dans : | |
Auteurs : | HANUS GILLES |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (202, 2016) |
Article en page(s) : | 32-34 |
Note générale : | 5 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] COMPETENCE PROFESSIONNELLE [SANTEPSY] DROIT DU PATIENT [SANTEPSY] ETHIQUE PROFESSIONNELLE [SANTEPSY] LIBERALISME [SANTEPSY] PRATIQUE DU SOIN [SANTEPSY] PRATIQUE PROFESSIONNELLE [SANTEPSY] PSYCHIATRIE [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] VIOLENCE |
Résumé : | Actes du 3ème colloque d'éthique du 22 janvier 2016 à Paris, Institut Mutualiste Montsouris. Peut-on forcer quelqu'un pour lui sauver la vie ? Ne doit-on le faire qu'épisodiquement, en attendant que le patient recouvre un certain discernement ? Que faire s'il tarde à en faire preuve ? Car la violence n'est acceptable qu'à titre exceptionnel (on peut alors se dire qu'il fallait bien ça pour régler la situation). Reconduite chaque jour, elle devient prévisible et moins facile à inscrire au registre de l'exception. Est-il supportable pour celui dont la tâche est de soigner, de soulager les souffrances d'en infliger d'autres au nom du souci du patient et de sa vie ? Face à ces questions, on peut comprendre le désarroi du personnel soignant, dépouillé de ce qui ordinairement permet de comprendre, de supporter, etc. [extrait de l'article] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2016-8-page-32.htm |