| Titre : | La pire punition qu'on puisse s'infliger : se taire et brûler de l'intérieur (2016) |
| contenu dans : | |
| Auteurs : | MARTIN KAMIENIAK ISABELLE |
| Type de document : | Article |
| Dans : | REVUE FRANCAISE DE PSYCHANALYSE (3 vol 80, 2016) |
| Article en page(s) : | 669-683 |
| Descripteurs |
[SANTEPSY] CONTRE TRANSFERT [SANTEPSY] MASOCHISME [SANTEPSY] SADISME |
| Mots-clés libres: | FANTASME DE FUSTIGATION |
| Résumé : | A travers une expérience clinique où la circulation de fantasmes sadiques entraîne une stagnation psychophobique dans la cure, l'auteur propose que si le masochisme moral s'appuie sur les failles du lien à l'objet premier, gênant la construction des auto-érotismes, la haine inhérente à la construction du moi ne tend-elle pas à mobiliser un sadisme visant à donner solution aux traumas primaires ? Ce sadisme n'est-il pas actif dans les 'raisons constitutionnelles' qu'invoque Freud chez de tels enfants sollicitant la régression sadique-anale nécessaire à la construction du fantasme 'Un enfant est battu' ? [Résumé d'éditeur] |
| En ligne : | https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFP_803_0669 |
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