Titre : | Les débuts de la psychose (2016) |
contenu dans : | |
Auteurs : | LECARDEUR LAURENT ; MEUNIER-CUSSAC SOPHIE ; DOLLFUS SONIA |
Type de document : | Article |
Dans : | SANTE MENTALE (209, 2016) |
Article en page(s) : | 24-31 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] DIAGNOSTIC PRECOCE [SANTEPSY] ETIOLOGIE [SANTEPSY] EVOLUTION [SANTEPSY] PREMIER EPISODE PSYCHOTIQUE [SANTEPSY] PRISE EN CHARGE [SANTEPSY] PRODROME [SANTEPSY] PRONOSTIC [SANTEPSY] REMISSION [SANTEPSY] STRESS [SANTEPSY] SYMPTOMATOLOGIE SCHIZOPHRENIQUE [SANTEPSY] VULNERABILITE |
Résumé : | L'hypothèse explicative actuellement privilégiée concernant l'apparition des symptômes psychotiques stipule que ces symptômes seraient le fruit d'une interaction entre des stresseurs environnementaux et une vulnérabilité d'origine biologique et psychologique. Les perturbations cérébrales anatomiques et fonctionnelles induites seraient responsables de l'éclosion des troubles, de manière insidieuse ou brutale, chez l'adulte jeune. Le diagnostic de schizophrénie est précédé d'une évolution plus ou moins longue des troubles. Ainsi, la phase prodromique se caractérise par la présence des premiers signes psychotiques, sans que ceux-ci soient suffisamment intenses et fréquents pour qu'ils soient considérés comme des symptômes. Lors du premier épisode psychotique, les symptômes sont intenses ; il est vecteur d'une grande souffrance et d'un désarroi pour le jeune et ses proches. Un des objectifs majeur consiste en la détection précoce de ces jeunes, afin notamment de diminuer la durée de psychose non traitée. [Résumé d'auteur] |