| Titre : | L'incurie comme un signe de décompensation (2015) |
| contenu dans : | |
| Auteurs : | ERIC JEAN-LOUIS |
| Type de document : | Article |
| Dans : | SOINS PSYCHIATRIE (298 vol 38, 2015) |
| Article en page(s) : | 34-39 |
| Note générale : | 5 réf.bibliogr. |
| Descripteurs |
[SANTEPSY] ACCOMPAGNEMENT THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] ASSISTANT SOCIAL [SANTEPSY] AUTONOMIE [SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] DECOMPENSATION PSYCHOTIQUE [SANTEPSY] HYGIENE [SANTEPSY] INCURIE [SANTEPSY] LOGEMENT [SANTEPSY] PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE [SANTEPSY] PRATIQUE DU SOIN [SANTEPSY] PRISE EN CHARGE [SANTEPSY] RECHUTE [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] SEMIOLOGIE [SANTEPSY] SOCIALISATION [SANTEPSY] SOIN INFIRMIER [SANTEPSY] VISITE A DOMICILE |
| Résumé : | Absence d'hygiène à laquelle le patient se montre indifférent, l'incurie peut être un signe de décompensation d'une pathologie mentale. Exemple de la prise en charge d'un patient qui, après plusieurs mois de stabilisation et un retour à domicile dans un contexte de relative propreté, réactive un délire de persécution.[résumé d'auteur] |
| En ligne : | http://www.em-premium.com/article/973249/article/l-incurie-comme-un-signe-de-decompensation |
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