Titre : | Terrorisme, violence de masse et radicalisation : du Moi idéal au désengagement identificatoire (2015) |
contenu dans : | |
Auteurs : | BRUNET LOUIS |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (191, 2015) |
Article en page(s) : | 48-51 |
Note générale : | Bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CLIVAGE [SANTEPSY] CRIMINOLOGIE [SANTEPSY] IDEALISATION [SANTEPSY] IDENTIFICATION [SANTEPSY] NARCISSISME [SANTEPSY] TERRORISME [SANTEPSY] VIOLENCE |
Résumé : | Les gestes des gens violents, des meurtriers, ont-ils un sens ou une adresse ou sont-ils essentiellement de nature quantitative, une décharge sans sens et sans adresse ? La pratique clinique avec les meurtriers ou les jeunes radicaux nous oblige plutôt à imaginer un continuum allant de la pure décharge dans certains cas à une décharge comprenant aussi un appel à l'objet. Cependant les gestes violents n'auront de valeur de gestes signifiants que si un objet est là pour le voir, pour le comprendre et pour le rendre signifiant pour le sujet incapable de le faire. [d'après le texte de l'auteur] |
En ligne : | https://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2015-6-page-48.htm |