Titre : | Un adolescent seul n'existe pas (2014) |
contenu dans : | |
Auteurs : | CABROL GUY |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (183, 2014) |
Article en page(s) : | 36-41 |
Note générale : | Notes |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ACCOMPAGNEMENT [SANTEPSY] ADOLESCENT [SANTEPSY] CREATIVITE [SANTEPSY] FAMILLE [SANTEPSY] GROUPE [SANTEPSY] INSTITUTION [SANTEPSY] PRISE EN CHARGE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE INSTITUTIONNELLE [SANTEPSY] PULSION [SANTEPSY] RECHERCHE [SANTEPSY] RELATION INTERPERSONNELLE [SANTEPSY] VIOLENCE |
Mots-clés libres: | CRISE D IDENTITE ; GROUPE D ADOLESCENTS ; INTERLUDE |
Résumé : | Ce texte propose une réflexion sur les présupposés d'une possible institution de la crise adolescente. Ces réflexions ont été mises à l'épreuve, durant 20 ans, dans mon expérience de psychanalyste sans divan, à travers les références de la psychothérapie institutionnelle et des théories de la groupalité. Les enjeux de la subjectivation sont, entre destructivité et créativité, imprégnés du fantasme masturbatoire central et du nécessaire meurtre des objets oedipiens, sans endommager ses objets internes. Comment résoudre ce paradoxe de finir sans en finir ? La crise adolescente est l'expression d'une tentative de solution de ce dilemme dans des changements catastrophiques qui traversent aussi l'institution familiale, car un adolescent, toujours 'grand prématuré', seul, n'existe pas. Peut-on jamais en finir avec la part adolescente de la personnalité ? [résumé de l'auteur] |
En ligne : | http://dx.doi.org/10.3917/lcp.183.0036 |