Titre : | La douleur qui se tait n'en est que plus funeste (2014) |
contenu dans : | |
Auteurs : | ANDRE JACQUES |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (177, 2014) |
Article en page(s) : | 33-37 |
Note générale : | Notes |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CRI [SANTEPSY] CURE PSYCHANALYTIQUE [SANTEPSY] DOULEUR [SANTEPSY] INTERPRETATION [SANTEPSY] LANGAGE [SANTEPSY] MOI [SANTEPSY] NAISSANCE [SANTEPSY] SEPARATION [SANTEPSY] SOUFFRANCE PSYCHIQUE |
Mots-clés libres: | EXPRESSION DE L EMOTION ; FREUD S |
Résumé : | Si je vous croisais dans la rue, je vous trouverais certainement antipathique... Je n'aurais jamais pu commencer une analyse avec quelqu'un de sympathique'. L'antipathie évoquée par Maeva, jeune femme en analyse, cette antipathie n'est pas la haine. La haine tue ou détruit, l'antipathie se contente d'éloigner. Là où la haine s'affronte à l'irréductibilité d'autrui, à l'insulte de son altérité, ou...[Premières lignes] |
En ligne : | http://dx.doi.org/10.3917/lcp.177.0033 |