Titre : | Psychopathologie et répercussions de la douleur chronique : conséquences pour la pratique clinique et recommandations thérapeutiques (2014) |
contenu dans : | |
Auteurs : | LIGNIER BAPTISTE ; CHUDZIK LIONEL ; PLAISANT ODILE |
Type de document : | Article |
Dans : | ANNALES MEDICO PSYCHOLOGIQUES (2 vol 172, 2014) |
Article en page(s) : | 96-102 |
Note générale : | Tabl./15 réf. bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] BILAN PSYCHOLOGIQUE [SANTEPSY] DOULEUR [SANTEPSY] EVALUATION [SANTEPSY] GUIDE DE BONNES PRATIQUES [SANTEPSY] PROFIL PSYCHOLOGIQUE [SANTEPSY] PSYCHOPATHOLOGIE |
Mots-clés libres: | ECHELLE VISUELLE ANALOGIQUE ; MINNESOTA MULTIPHASIC PERSONALITY INVENTORY-2 |
Résumé : | Le but de cette étude fut d'établir des sous-groupes de profils psychopathologiques de patients douloureux chroniques à partir du Minnesota Multiphasic Personality Inventory-2 (MMPI-2), et de rechercher des variations sur les mesures d'intensité et de répercussions de la douleur à l'aide d'échelles visuelles analogiques. Les recommandations pour la pratique discutées pour les sous-groupes décrits ont pour but d'améliorer les décisions thérapeutiques. Une méthode hiérarchique en clusters a montré une première solution en trois sous-groupes : le premier dans les limites de la normale, le deuxième en ?V de conversion', et le troisième avec une élévation générale du profil. Des différences significatives ont été retrouvées entre les sous-groupes d'élévation générale et des limites de la normale sur les échelles d'activité, de tristesse et de dépression. La seule différence significative entre le sous-groupe dans les limites de la normale et de ?V de conversion' concernait l'échelle d'activité. Deux autres solutions en quatre puis en cinq clusters ont individualisé au total six sous-groupes psychopathologiques qui seront discutés dans les recommandations. Ces résultats montraient tout d'abord l'importance de différencier des profils psychopathologiques, qu'il n'existait aucune différence significative d'intensité ou de durée de la douleur entre les sous-groupes, et que les patients rapportant plus de répercussions sur les échelles visuelles analogiques avaient des profils plus pathologiques. De plus, nous avons insisté sur les recommandations thérapeutiques pour chacun des six profils psychopathologiques décrits.[résumé d'auteur] |
En ligne : | http://www.em-premium.com/article/887085/article/psychopathologie-et-repercussions-de-la-douleur-ch |