Titre : | Accompagner la fratrie au funérarium (2013) |
contenu dans : | |
Auteurs : | DEROME MURIEL |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (175, 2013) |
Article en page(s) : | 38-41 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ACCOMPAGNEMENT [SANTEPSY] ANNONCE DU DIAGNOSTIC [SANTEPSY] COMMUNICATION [SANTEPSY] ENFANT MORT [SANTEPSY] FRATRIE [SANTEPSY] MORT [SANTEPSY] RITE [SANTEPSY] RITE FUNERAIRE |
Résumé : | Les pratique funéraires sont aujourd'hui beaucoup moins codifiées et chacun est libre d'inventer sa façon de faire ou d'être. Cette désocialisation du deuil n'est pas sans conséquences pour les enfants. Beaucoup d'adultes ont besoin de penser que l'enfant doit être protégé de la mort en l'écartant des personnes gravement malades ou décédées. Ils considèrent qu'il est préférable de ne pas leur en parler ou ne se sentent pas de le faire. Or, même les plus jeunes ont besoin d'explications claires, adaptées à leur niveau de compréhension pour savoir ce qui s'est passé, comprendre les réactions des adultes, poser leurs questions et pouvoir participer concrètement à tout ce qui se met en place après le décès. [d'après le texte de l'auteur] |
En ligne : | http://dx.doi.org/10.3917/lcp.175.0038 |