Titre : | L'UCSA : Moi-peau au sein de la prison (2014) |
Auteurs : | MAZET CHARLOTTE |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (176, 2014) |
Article en page(s) : | 41-45 |
Note générale : | Bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] CONSULTATION [SANTEPSY] ENVELOPPE PSYCHIQUE [SANTEPSY] ETAT LIMITE [SANTEPSY] NARCISSISME [SANTEPSY] PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE [SANTEPSY] PRISON [SANTEPSY] SOIN PSYCHIATRIQUE |
Mots-clés libres: | PASSAGE A L ACTE |
Résumé : | 'Les lieux de soins mis à la portée des détenus (SMPR, UCSA) permettent de considérer ces derniers comme des patients, et donc comme des êtres humains, malgré les crimes et délits commis. La sanction inévitable de ces actes, peut être dès lors accompagnée de mots, débouchant ainsi sur la réflexion autour de soi et de l'acte en lui-même. Un des objectifs du thérapeute en UCSA serait donc de permettre au patient-détenu de passer d'un état de non-pensée à l'ébauche d'un travail psychique. L'enfermement, accompagné d'un lieu humanisé, 'contenant', 'enveloppant' peut ainsi permettre au patient-détenu de sortir de ce fonctionnement pulsionnel lors de l'incarcération ou encore de façon plus durable ; l'expérience thérapeutique de Tony et Mr P. au sein de l'UCSA vient illustrer ce constat. [d'après le résumé de l'auteur]' |
En ligne : | http://dx.doi.org/10.3917/lcp.176.0041 |