Titre : | Carl Schmitt plaide l'amnistie en termes platoniciens, 1949 (2013) |
contenu dans : | |
Auteurs : | ALEKSIC BRANKO |
Type de document : | Article |
Dans : | TOPIQUE (124, 2013) |
Article en page(s) : | 41-57 |
Note générale : | Notes |
Descripteurs |
[SANTEPSY] GUERRE [SANTEPSY] HISTOIRE [SANTEPSY] NAZISME [SANTEPSY] PHILOSOPHIE [SANTEPSY] PROCES [SANTEPSY] RESPONSABILITE [SANTEPSY] TOTALITARISME |
Mots-clés libres: | PLATON ; PROCES DE NUREMBERG ; SCHMITT CARL ; SECONDE GUERRE MONDIALE |
Résumé : | L'interrogatoire de Carl Schmitt en 1947 comme témoin du procès de Nuremberg, a pour la première fois mis l'accent sur la responsabilité des intellectuels engagés idéologiquement dans l'appui du régime nazi. Cet interrogatoire a été publié en 1972, et traduit en français en 2003. En se défendant devant le juge Kempner, Schmitt s'est comparé à Platon conseillant le tyran de Sicile ! Il l'a réitéré dans un plaidoyer sur l'amnistie, en 1949, évoquant le dialogue Ménexène. Cette comparaison prétentieuse avec Platon, faite dans une joute, révèle volens nolens que Schmitt était plus qu'un important sympathisant du régime d'Hitler. [résumé d'éditeur] |
En ligne : | http://www.cairn.info/revue-topique-2013-3-page-41.htm |