Titre : | Rien en savoir : jusqu'où peut conduire l'injonction à la précocité (2011) |
contenu dans : | |
Auteurs : | MEVEL FRANÇOISE |
Type de document : | Article |
Dans : | DIALOGUE (194, 2011) |
Article en page(s) : | 35-44 |
Note générale : | Bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ECOLE [SANTEPSY] ENFANT [SANTEPSY] HAUT POTENTIEL [SANTEPSY] PARENT [SANTEPSY] PERFORMANCE [SANTEPSY] PHOBIE SCOLAIRE [SANTEPSY] PSYCHOLOGIE SOCIALE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE FAMILIALE [SANTEPSY] STIGMATISATION |
Résumé : | Etre 'un bon parent' se mesure aussi, actuellement, à l'inscription de l'enfant dans le cadre scolaire. Si l'enfant résiste à ce savoir, le champ social a inventé des signifiants catégoriels : 'enfants tyrans', 'enfants précoces', 'phobies scolaires'. Cette injonction à la performance scolaire fait osciller l'économie familiale entre effondrement parental et excitation enfantine. Une thérapie familiale vient illustrer le propos de l'auteur, particulièrement une séance où la travail autour d'une phrase écrite métaphorisera l'évolution de la structure familiale. [résumé de l'éditeur] |
En ligne : | http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=DIA_194_0035 |