Titre : | La victime de viol face à la logique judiciaire (2013) |
contenu dans : | |
Auteurs : | STEYER ISABELLE |
Type de document : | Article |
Dans : | SANTE MENTALE (176, 2013) |
Article en page(s) : | 54-57 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ACCOMPAGNEMENT [SANTEPSY] AVOCAT [SANTEPSY] DELAI DE PRESCRIPTION [SANTEPSY] DEPOT DE PLAINTE [SANTEPSY] DROIT PENAL [SANTEPSY] ENQUETE DE POLICE [SANTEPSY] ETUDE CRITIQUE [SANTEPSY] JURIDICTION PENALE [SANTEPSY] MAJEUR [SANTEPSY] MINEUR [SANTEPSY] PREUVE [SANTEPSY] PROCEDURE JUDICIAIRE [SANTEPSY] TEMOIGNAGE [SANTEPSY] TRAUMATISME PSYCHIQUE [SANTEPSY] VICTIME [SANTEPSY] VIOL |
Résumé : | Les psychologues estiment parfois qu'une victime de viol doit être reconnue comme telle par la justice pour entamer un réel travail thérapeutique. Cependant, dans le contexte actuel, la victime de viol n'est pas prise en compte dans le code de procédure pénale et le procès va être une épreuve extrêmement difficile pour elle. L'avocat se trouve en situation d'expliquer son intérêt à la victime, de la conduire par exemple à témoigner alors qu'elle n'est pas en état psychique de la faire, et d'un autre côté, de permettre à la cour de considérer comme des preuves des éléments qui ne seraient pas pris en compte dans d'autres situations. Un défaut de formation et de compréhension entre les différents intervenants paraît criant. [résumé d?éditeur] |