Titre : | Contribution de la clinique projective auprès d'enfants présentant des troubles du langage (2013) |
contenu dans : | |
Auteurs : | TALY VÉRONIKA |
Type de document : | Article |
Dans : | CARNET PSY (169, 2013) |
Article en page(s) : | 50-52 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CLINIQUE [SANTEPSY] DYSPHASIE [SANTEPSY] ENFANT [SANTEPSY] EVALUATION [SANTEPSY] PROCESSUS PSYCHIQUE [SANTEPSY] PSYCHOPATHOLOGIE [SANTEPSY] RECHERCHE [SANTEPSY] TEST PROJECTIF [SANTEPSY] TROUBLE DU LANGAGE |
Mots-clés libres: | METHODE D OBSERVATION ; TEST CAT ; TEST RORSCHACH ; TEST TAT |
Résumé : | Dans l'acception actuelle les troubles du langage 'dys' font partie des troubles instrumentaux, pour lesquels il y a l'idée d'un déficit à combler, d'un trouble à réduire ou à rééduquer selon le modèle théorique neurologique. Cette appréhension du trouble tend à réduire la complexité psychique contextuelle à l'apparition de ces troubles spécifiques des apprentissages. Déjà J-Y Chagnon soulignait l'intérêt des méthodes projectives pour une approche psychopathologique des troubles dits 'instrumentaux'. Mais dans la pratique et dans les publications scientifiques, il apparaît que le recours à la clinique projective auprès d'enfants présentant des troubles sévères du langage oral, tels que la dysphasie est très rare. [d'après le texte de l'auteur] |
En ligne : | http://dx.doi.org/10.3917/lcp.169.0050 |