Titre : | Les fausses allégations de maltraitance sexuelle chez l'enfant prépubère (2012) |
Auteurs : | BECKER EMMANUEL DE ; VERHEYEN CATHERINE |
Type de document : | Article |
Dans : | PSYCHOTHERAPIES (3 vol 32, 2012) |
Article en page(s) : | 179-189 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ACCUSATION [SANTEPSY] AGRESSION SEXUELLE [SANTEPSY] ANALYSE DE CONTENU [SANTEPSY] ATTITUDE DU PROFESSIONNEL [SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] CONFABULATION [SANTEPSY] DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL [SANTEPSY] DISCOURS [SANTEPSY] ENFANCE EN DANGER [SANTEPSY] ENFANT MALTRAITE [SANTEPSY] ENTRETIEN FAMILIAL [SANTEPSY] EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE [SANTEPSY] EXPERTISE PSYCHIATRIQUE [SANTEPSY] EXPERTISE PSYCHOLOGIQUE [SANTEPSY] MALTRAITANCE [SANTEPSY] MENSONGE [SANTEPSY] PAROLE [SANTEPSY] PRISE EN CHARGE [SANTEPSY] RELATION PARENT ENFANT [SANTEPSY] RELATION PERE FILLE [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT FAMILLE [SANTEPSY] VIOLENCE FAMILIALE |
Résumé : | De plus en plus régulièrement confrontés aux questions liées à l'allégation de maltraitance sexuelle, les professionnels de santé de l'enfant éprouvent des difficultés à se situer par rapport aux (prétendues) victimes et de leurs familles, à contenir leurs émotions et à demeurer aussi neutres que possible dans l'accompagnement pertinent et adéquat des jeunes et de son entourage. À la lumière d'une vignette clinique (concernant une fille de 9 ans qui confie à son éducatrice qu'il se passe des choses terribles à la maison et qui accuse - à tort - son père d'attouchements, avant de se rétracter et d'avouer un traumatisme sexuel plus ancien, causé par un instituteur), les auteurs développent d'abord une réflexion sur le statut du discours tenu pat l'enfant. Puis, considérant la nécessité d'établir le diagnostic différentiel de l'allégation de maltraitance sexuelle, ils abordent diverses pistes quant à l'accompagnement thérapeutique, tant au moment de l'évaluation qu'à celui du traitement stricto sensu. Ils s'appuient sur leurs propres expériences au sein d'une équipe pluridisciplinaire, qui se compose d'assistants sociaux, de psychologues, d'une pédiatre, d'un (pédo-)psychiatre et d'une juriste. [d'après le résumé d'éditeur] |