Titre : | Aimer trop (2012) |
contenu dans : | |
Auteurs : | ARNOUX DOMINIQUE J. |
Type de document : | Article |
Dans : | REVUE FRANCAISE DE PSYCHANALYSE (1 vol 76, 2012) |
Article en page(s) : | 11-26 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CADRE PSYCHANALYTIQUE [SANTEPSY] PROCESSUS ANALYTIQUE [SANTEPSY] SCENE ORIGINAIRE [SANTEPSY] SEXUALITE |
Résumé : | La difficulté à saisir psychologiquement la sexualité, ce fait biologique, appartient proprement à la psychanalyse. Cette difficulté est un fait choisi. « Tout en en débordant les acceptions usuelles (de la sexualité), la psychanalyse n'en récuse aucune et, pour elle, la sexualité recouvre le sens élargi du mot aimer. » Le psychanalyste, où qu'il soit, est interpellé pour ce qui concerne chez l'humain l'aimer trop. Le pari de cet article est d'envisager les caractéristiques de ce trop à partir des expériences psychanalytiques qui ont été dans des champs variés qu'ils soient hospitalier, de recherche ou médico-social ou de divan. Ce qui ne varie pas, c'est la résonance intrapsychique d'un tel travail d'écoute des éléments intrapsychiques et intersubjectifs à partir de l'organisation et du respect obstinés du cadre de travail psychique pour la compréhension mutuelle. À cette condition, l'émergence du nouveau est une autocréation. [résumé d'éditeur] |
En ligne : | http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFP_761_0011 |