Titre : | RÉALITÉ LT : Recherche Épidémiologique sur l'Activité de la Loxapine et ses Indications en Thérapeutique quotidiennE lors d'une utilisation à Long Terme. Étude pharmacoépidémiologique : sémiologie et stratégie thérapeutique d'une population de patients présentant des troubles schizophréniques traités par loxapine (2012) |
Auteurs : | COUSIN FR ; SAMUELIAN JEAN-CLAUDE ; SAOUD MOHAMED KARAM ; SCHMITT LAURENT ; VACHERON MARIE-NOËLLE ; AUGENDRE J ; VIDAILHET P ; WALTER MARC ; TONELLI I ; PASCAL JC |
Type de document : | Article |
Dans : | ENCEPHALE (1 vol 38, 2012) |
Article en page(s) : | 64-74 |
Note générale : | Bibliogr. |
Langues: | Français |
Descripteurs |
[SANTEPSY] EPIDEMIOLOGIE [SANTEPSY] INTERACTION MEDICAMENTEUSE [SANTEPSY] PHARMACOLOGIE [SANTEPSY] PSYCHOTROPE [SANTEPSY] SCHIZOPHRENIE [SANTEPSY] TRAITEMENT AU LONG COURS |
Résumé : | 'Une étude pharmacoépidémiologique observationnelle, prospective, nationale, multicentrique : RÉALITÉ LT a permis d'analyser les données cliniques et les modalités d'utilisation de la loxapine chez une population de 645 patients souffrant de schizophrénie et traités par cet antipsychotique depuis au moins quatre mois. L'étude s'est déroulée sur un semestre avec recueil des caractéristiques sociodémographiques, cliniques (sous-types et formes évolutives de schizophrénie), thérapeutiques, de tolérance et d'observance. Ces données ont été comparées à une précédente étude RÉALITÉ et aux résultats d'autres études naturalistiques de patients schizophrènes traités. Les résultats confirmaient la validité de la population d'étude : ancienneté de la psychose (50 % au-dessus de dix ans) et du traitement par loxapine (28 mois), formes paranoïde et désorganisée prédominantes (80 %), fréquence des comorbidités addictives. Le respect des recommandations quant au bon usage de la loxapine : posologie entre 75 et 200mg par jour majoritaire (moyenne : 168,4mg), monothérapie antipsychotique (27 %) maintenue au long cours avec stabilité posologique (69 %), le bon profil de tolérance avec peu d'effets secondaires extrapyramidaux moins de 9 %, peu de troubles métaboliques ; ces effets secondaires étaient corrélés avec des coprescriptions de plusieurs antipsychotiques. Quant à l'observance, elle était jugée bonne dans quatre cas sur cinq [Résumé d'auteur]' |
En ligne : | http://www.em-premium.com/article/695682 |