Résumé :
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Les êtres humains doivent être capables d’intégrer de nombreux stimuli perceptifs mais également de filtrer en priorité les seules informations dignes d’intérêt. Ces stimuli sont priorisés en fonction de leur saillance. Ce réseau joue un rôle crucial dans la balance cognitive entre stimuli externes et processus mentaux internes. De nombreuses études ont démontré l’existence de liens entre ce réseau et le stress. De même, il a été impliqué dans de nombreuses pathologies psychiatriques ou neurologiques, dont la démence fronto-temporale, les troubles de l’humeur et anxieux, la schizophrénie, les addictions ou encore la douleur.
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