Titre : | La projection : pour le meilleur et pour le pire (2011) |
contenu dans : | |
Auteurs : | BRUSSET BERNARD |
Type de document : | Article |
Dans : | REVUE FRANCAISE DE PSYCHANALYSE (3 vol 75, 2011) |
Article en page(s) : | 681-695 |
Note générale : | Bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] FORCLUSION [SANTEPSY] HOMOSEXUALITE [SANTEPSY] JALOUSIE [SANTEPSY] NARCISSISME [SANTEPSY] PROJECTION |
Mots-clés libres: | FREUD SIGMUND ; KLEIN MELANIE ; LACAN JACQUES ; KLEIN Mélanie |
Résumé : | L'auteur relève, dans l'article de Freud sur la projection de 1922, l'oubli des idées antérieures du texte de 1910 sur Schreber, idées à partir desquelles Lacan a introduit la phase du miroir et la notion de forclusion. Le narcissisme spéculaire dans ses rapports avec l'imago maternelle, déjà repérable chez Freud, a été illustré par un cas clinique d'homosexualité publié par l'auteur en 2006. Après avoir situé l'induction de pensée chez Freud, il souligne l'importance du modèle de la projection primordiale dans le tri narcissique entre ce qui est constitutif de soi et étranger à soi. Il montre que la symétrie entre projection et introjection des auteurs kleiniens est mise en suspens par la transitionnalité winnicottienne qui lui est logiquement antérieure. Il considère la notion bionienne d'identification projective comme de seconde génération par rapport à celle de M. Klein. [résumé d'éditeur] |