Titre : | Les limites du modèle dominant en éducation thérapeutique (2011) |
contenu dans : | |
Auteurs : | TOURETTE TURGIS CATHERINE ; TOCQUEVILLE MÉLANIE ; PEIRERA PAULO LENNIZE |
Type de document : | Article |
Dans : | SANTE MENTALE (157, 2011) |
Article en page(s) : | 70-75 |
Note générale : | Bibliogr. |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ALLIANCE THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] DIABETE [SANTEPSY] EDUCATION DU PATIENT [SANTEPSY] EMPATHIE [SANTEPSY] EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE [SANTEPSY] POLYMEDICATION [SANTEPSY] SCHIZOPHRENIE [SANTEPSY] VULNERABILITE |
Résumé : | Les personnes schizophrènes sont en situation de fragilité somatique et particulièrement en ce qui concerne le diabète. Les programmes d'éducation thérapeutique ont été pensés à l'origine pour transférer aux malades chroniques un ensemble de compétences visant à leur permettre de mieux gérer leur maladie et de se maintenir dans un état de santé optimal. mais paradoxalement la question des besoins spécifiques en accompagnement et éducation des patients schizophrènes diabétiques et de leurs proches est peu abordée dans la littérature sur l'éducation du patient. Dans la pratique, l'inclusion de patients schizophrènes dans les programmes d'éducation thérapeutique touchant les maladies chroniques d'origine somatique, reste une exception. La privation d'accès à l'éducation des diabétiques en situation de handicap psychique représente une perte de chances thérapeutiques et n'est plus acceptable au moment où de nouvelles stratégies thérapeutiques ont amélioré la qualité de vie des diabétiques mais aussi celle des schizophrènes [résumé d'auteur] |