Titre : | Trace manquante, inachèvement du traçage pulsionnel et destructivité (2009) |
contenu dans : | |
Auteurs : | SEULIN C |
Type de document : | Article |
Dans : | REVUE FRANCAISE DE PSYCHANALYSE (5 vol 73, 2009) |
Article en page(s) : | 1697-1704 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] PERCEPTION [SANTEPSY] PERCEPTION SENSORIELLE [SANTEPSY] REPRESENTATION PULSIONNELLE [SANTEPSY] VIOLENCE |
Résumé : | L'auteur discute la notion de « perception sans trace » qui ne lui paraît pas généralisable. Si la perception est lacunaire, c'est parce qu'elle est orientée grâce aux premiers frayages et aux nécessités physiologiques. Le poids économique des perceptions sans traces est mis en lien avec les échecs du refoulement originaire, en particulier dans la psychose. Perception sans trace et régressivité extinctive de la pulsion sont liées dans leur cohérence théorique. La question des traces traumatiques non symbolisées est brièvement abordée dans un exemple clinique. Pour rendre compte de la destructivité, l'auteur défend l'hypothèse d'un traçage à jamais inachevé de la poussée pulsionnelle et du rôle des modèles promus par l'environnement.[résumé d'éditeur] |
En ligne : | http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFP_735_1696 |