Titre : | Violence et discontinuité des soins (2010) |
contenu dans : | |
Auteurs : | OURY JEAN ; HIEBEL MARIE-CHRISTINE ; LECARPENTIER MICHEL ; BLOT MA ; DRYLEWICZ S ; GEFFROY S ; NEGREL MF ; ROYER JM |
Type de document : | Article |
Dans : | PRATIQUES EN SANTE MENTALE (1 vol 56, 2010) |
Article en page(s) : | 30-36 |
Descripteurs |
[SANTEPSY] ANALYSE INSTITUTIONNELLE [SANTEPSY] ATELIER THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] ATTITUDE DU PROFESSIONNEL [SANTEPSY] CAS CLINIQUE [SANTEPSY] CLUB THERAPEUTIQUE [SANTEPSY] CONTENTION [SANTEPSY] CONTINUITE DES SOINS [SANTEPSY] GESTION HOSPITALIERE [SANTEPSY] HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE [SANTEPSY] HUMANISATION DES SOINS [SANTEPSY] MALTRAITANCE [SANTEPSY] PSYCHIATRIE MEDICO LEGALE [SANTEPSY] PSYCHIATRIE SOCIALE [SANTEPSY] PSYCHOTHERAPIE INSTITUTIONNELLE [SANTEPSY] RELATION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] REUNION SOIGNANT SOIGNE [SANTEPSY] UNITE POUR MALADES DIFFICILES [SANTEPSY] VIOLENCE |
Résumé : | Les soignants psychiatriques, et notamment ceux des unités pour malades difficiles (UMD), accueillent les patients et leur violence. Mais l'institution, elle-même, se rend coupable de violence à l'égard des sujets accueillis, que cette violence relève des soins techniques apportés (contention) ou qu'elle soit imputable à l'administration hospitalière qui protocolise la prise en charge. La continuité des soins est remise en question. La pratique issue de la psychothérapie institutionnelle, des clubs thérapeutiques et - ou des réunions soignants-soignés doit permettre de replacer la préoccupation humaniste au centre du soin psychiatrique. |