Titre : | Lieu de contrôle et santé (2001) |
Auteurs : | BRUCHON SCHWEITZER M ; GILLIARD J ; SIFAKIS Y ; KOLECK M ; TASTET S ; IRACHABAL S |
Type de document : | Article |
Dans : | EMC PSYCHIATRIE (106 avril mai juin 37 032 A 35 vol 106 avril mai juin 37 032 A 35, 2001) |
Article en page(s) : | 106 avril mai juin 37 032 A 35 |
Note générale : | /A REVOIR |
Descripteurs |
[SANTEPSY] CONTROLE [SANTEPSY] ENVIRONNEMENT [SANTEPSY] EVENEMENT DE VIE [SANTEPSY] PSYCHOLOGIE [SANTEPSY] PSYCHOLOGIE SOCIALE [SANTEPSY] SANTE [SANTEPSY] STRESS |
Mots-clés libres: | EXTERNALITE ; INTERNALITE |
Résumé : | Le lieu de contrôle (LOC) est la tendance généralisée à croire que ce qui nous advient dépend, soit de nous-mêmes (internalité), soit de facteurs extérieurs (externalité). L'internalité-externalité (I-E) de Rotter est la notion la plus populaire. L'internalité a des effets bénéfiques et l'externalité des effets nocifs, à la fois sur la santé émotionnelle et sur la santé physique. Certains auteurs, comme Levenson, distinguent trois types de contrôle perçu : contrôle interne (I), chance (C), personnages tout-puissants (P). D'autres, comme Wallston et al, ont construit des échelles de LOC spécifiques, comme l'Echelle multidimensionnelle de contrôle de la santé (MHLCS), qui évalue trois aspects du contrôle de la santé. Que les composants du LOC soient générales ou spécifiques, uni-ou tridimensionnelles, l'internalité s'avère le plus souvent fonctionnelle et l'externalité dysfonctionnelle. L'effet du LOC sur la santé est assez complexe. Il agit en effet directement, mais aussi en interaction avec d'autres variables personnelles et contextuelles. |