| Titre : | INFORMATION PSYCHIATRIQUE : INFPSY, 6 vol 84. - 2008 |
| Type de document : | Bulletin |
| Paru le : | 01/01/2008 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier
Article
Article
Article
Les politiques gouvernementales qui mènent aujourd'hui un véritable combat contre l'immigration dite « clandestine » tentent de définir si le demandeur d'asile est un « vrai » ou un « faux » réfugié. Les incidences subjectives de ces soupçons se[...]
Article
Confrontés à certaines politiques de dépistage des troubles du comportement, pouvons-nous faire autre chose que de rendre la communauté scientifique ainsi que les intervenants sanitaires et sociaux attentifs à ce à quoi ils sont parfois, volens [...]
Article
La diffusion insistante des techniques utilisant la biométrie à des fins d'identification des personnes conduit à corréler, sans intervention humaine, permission de circuler, authentification des autorisations et détection des individus à risque[...]
Article
Les 700 lits du projet UHSA, clairement positionnés au bout de la chaîne pénale, sans aucune augmentation de l'offre de soins de la psychiatrie générale de secteur et sans impact préventif sur les passages à l'acte des malades difficiles, témoig[...]
Article
Article
Le vote récent de la loi Dati sur la rétention de sûreté a provoqué un certain émoi dans notre pays, où, des rangs des juristes comme de ceux des psychiatres, se sont élevées de vigoureuses protestations. Cette loi constitue-t-elle une inflexion[...]
Article
La loi relative à la rétention de sûreté et à la déclaration d'irresponsabilité pénale du 25 février 2008 s'inscrit dans la succession des nombreuses lois sécuritaires promulguées depuis le début du siècle. Elle prévoit la possibilité d'une réte[...]
![Biopolitique [dossier]](https://bibliotheque.cpa01.fr/img_cache/pmb_cpa_record_48388.webp)
Article
Article
La loi du 25 février 2008 relative à la rétention de sûreté a été l'occasion de vifs débats parlementaires sur le positionnement entre psychiatrie et justice. La nature de la rétention a été très centrale : la rétention doit-elle être prononcée [...]
